J'aime être attachée pour faire l'amour, même si c'est bizarre comme truc, je n'y peux rien, c'est plus fort que moi. Plus il me entrave, plus je suis excitée.

Le fait d’être immobilisée et offerte à sa merci quand il me fait l’amour, déclenche toujours en moi de troubles sensations. Au fil du temps et des discussions il a appris à me connaître, à me comprendre car aborder ce genre de chose dans le couple n'est pas si évident que ça. Au début il pensait que j'avais le fantasme du viol, oui un peu sauf que je n'aime pas la violence.

Déjà, quand ses mains s’emparent de mes poignets et me les bloquent à hauteur des épaules, je ne m’en libère que plus, en laissant toute la force de mon désir passer dans mes bras afin de mieux ressentir son emprise sur moi. J'atteins le plaisir naturellement comme tout le monde mais si je suis attachée et un peu malmenée il est multiplié par dix.

Avec le temps, c'est devenu pour moi comme une d r o g u e, la d r o g u e plaisir car j'en suis arrivée à provoquer les situations afin de l'exciter pour qu'il me fasse des choses. Un jour il m'est venu l'idée de m'offrir à lui toute seule, de me mettre en position d'offrande sans aucune possibilité de fuite quand il arriverait. Ce jour là, j'ai passé deux cordes derrière le canapé pour attacher mes jambes en l'air, j'ai pris des menottes et un bandeau pour augmenter plus encore mes sensations. J'étais trempée sans même me toucher, c'est dire.....

Je surveillais son arrivée par la fenêtre, quand je l'ai vue arriver et chercher une place en bas de l'immeuble, je me suis précipitée sur le canapé. Je me suis assise, j'ai fait glisser mes fesses nues pour qu'elle soient au bord du canapé puis j'ai soulevé mes jambes pour les attacher le plus loin possible au dessus de ma tête avec les deux cordes préparées dans l'après-midi. Le bandeau posé sur les yeux, j'ai mis les mains dans le dos et je me suis menottées.

Attendre qu'il trouve une place et monte les trois étages me paru une éternité. Si avant de m'attacher j'étais ultra excitée, une fois fait, j'ai eu très honte et me suis demandé s'il n'allait pas me traiter de folle. C'est ce qu'il a fait à peine entré dans la maison en me demandant comment j'aurais fait s'il avait eu un accident ou s'il était arrivé avec un copain. J'étais furieuse car combien de mecs aimeraient que leur femme s'offre à eux ainsi ? En guise de câlin, il m'a donné deux claques sur les fesses et m'a libérée. Le soir même je lui ai mené la vie dure...... et à mon tour, en guise de câlin je me suis mise à surfer sur Fessestivites.

Quelques jours plus tard, voyant que je ne décolérais pas et continuais à prétexter que je n'étais pas bien, il m'a proposé de m'attacher pour me faire l'amour en me faisant des tonnes de bisous dans le cou. Et moi, comme une conne, je ne me suis pas méfiée, j'ai fait la moue et j'ai accepté. Quand il a sorti notre caisse secrète, je savourais ma victoire, j'allais m'éclater, il avait cédé. Max a commencé par me poser un bandeau sur les yeux, m'a retiré ma robe puis m'a menottée mains dans le dos. J'étais aux anges !

Prise d’une vague de bien être quand ses doigts ont commencé à jouer mon sexe, je me suis mise à onduler, il s'amusait à étirer mes lèvres intimes et à les écarter quand soudain j'ai senti quelque chose les mordre en me faisant un peu mal. J'ai immédiatement compris qu'il profitait de la situation pour me mettre les pinces à sein que j'ai toujours refusées. Au lieu de m'écouter et de les retirer, il les a collées contre mes cuisses avec du scotch, ma chatte devait ressembler à une grenouille aplatie sur une table de vivisection. A la suite de quoi, il a joué avec mes seins pour en poser une sur chacun de mes tétons. J'étais furax de chez furax et quand je lui demandais d'arrêter il ne m'écoutait pas.

Cet enfoiré m'a eue en beauté !

• Quand une soumise s'attache pour s'offrir à son mec pour qu'il s'amuse, ce n'est pas obligatoirement pour qu'il lui fasse que ce qu'elle a envie !

• Je ne suis pas soumise, retire-moi ces trucs merde !

• Tu n'es pas soumise, tu es juste un peu piégée et f o r c é e et dans un moment tu vas miauler de plaisir et tu auras ce que tu veux mais avant, j'ai un peu envie de m'amuser.

Et là, le conquérant de mon coeur et de mon corps m'a planté un petit vibro dans le minou en se mettant à dévorer mon clito particulièrement exposé. HUMMM ! Que dire ? Rien ! Alors que je commençais à grimper, cet enfoiré qui avait dû surfer lui aussi sur Fessestivites pour y prendre des idées sadiques, s'est amusé à alterner les caresses d'un glaçon et de ses coups de langue sur mon chaton tout en agitant le vibromasseur qu'il a mis à fond ! Au bout d'un moment de cette "t o r t u r e" j'étais gagnée par une sorte de frénésie, je sentais que les muscles de mon vagin commençaient à réagir très positivement aux intrusions du vibromasseur associées à sa langue d'une grande habileté.

Et là, au lieu de me prendre comme une bête (comme j'aime) il a tout arrêté. Je l'aurai tué ! D'un coup, j'ai senti ses doigts froids sur mon anus, il le lubrifiait avec une intention fort claire. Oui mais moi je voulais d'abord qu'il me prenne devant mais il n'a encore une fois rien écouté de mes demandes.

• Puisque la soumission et la contrainte te mettent dans tout tes états, autant que je te donne ce que tu as envie à ma façon.
• Je ne suis pas soumise !
• Oh si, tu es soumise au plaisir et présentement tu vas l'être à ma bite !

Que répondre à cela quand un gland annonciateur d'agréables sensations distand votre petit coin et s'y enfonce lentement jusqu'à la garde ? Ben on dit "ahhhh" enfin moi je dis "ah" car j'aime ça. Profondément logé au creux de mes reins, il a entrepris un travail de sape pour ma pudeur en logeant le deuxième petit vibromasseur que l'on a acheté chez ABCplaisir sur mon clitoris.

Prise par les deux orifices, lui derrière et le petit vibromasseur devant en plus de celui harcelant mon clito révolté parce que c'était trop fort, sous les assauts incessants de ces trois v i o l e u r s, j'ai fini par éprouver des sensations voluptueuses étranges, si vives, si bouleversantes, qu'une onde de plaisir montait irrémédiablement dans mon ventre. De terribles ondes nerveuses se mirent à traverser mes fourreaux intimes, mon ventre, mon cerveau perdait pied sous toutes ses sensations.

Des ondes "maléfiques" continuèrent de courir dans les reins et mon ventre bien après qu'il ait pris son plaisir, jamais jusqu'à présent cela n'avait été aussi fort et aussi long. Cela m'a fait mal quand il a retiré les pinces à sein mais mon dieu que cette expérience nouvelle pour moi était bonne ! Je me suis demandé si une inclinaison de soumission et de masochisme ne commençait pas à naître en moi mais si ces moments sont toujours aussi violents en terme de jouissance, il y a de fortes chances qu'elle ne demande qu’à s’amplifier.

Je me souviens lui avoir dit après qu'il m'ait indiqué qu'il avait envie de me monter d'autre plans : "Oh toi mon maître des plaisirs, si tu savais à quel point je t’aime surtout quand tu m'annonces que tu as de grands projets pour moi...."

Sauf que Fred s'est mis lui aussi à surfer sur Fessestivites et qu'il y a trouvé des idées salaces ultra perverses mais je vous raconterai nos aventures dans un prochain récit.

Ecrivaillon

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